Le vendredi 24 mars à 20 heures, au Ciné Toboggan,
14, avenue Jean Macé, 69150 Décines-Charpieu, projection du film La
(Très) grande évasion suivie d’un débat en présence du réalisateur
Yannick Kergoat ("Les nouveaux chiens de garde")
Dans le cadre du festival du film documentaire « Les écrans du Doc » au Ciné Toboggan de Décines (du 21 au 26 mars)
Entrée payante aux tarifs habituellement pratiqués par le Ciné Toboggan.
Contact : Catherine Chauvin
catherine.chauvin@wanadoo.fr
Bande-annonce : https://www.amis.monde-diplomatique.fr/La-Tres-grande-evasion-7965.html
Le capitalisme est-il devenu incontrôlable ? De révélations en scandales successifs, l’évasion fiscale est devenue un marronnier médiatique et l’objet d’un concours de déclarations vertueuses pour les politiques. Alors que les multinationales et les plus riches ont de moins en moins de scrupules et de plus en plus de moyens à leur disposition pour échapper à l’impôt, pour nous, simple citoyen, les politiques d’austérité s’intensifient et les inégalités explosent. On voudrait nous faire croire que les mécanismes de l’évasion fiscale sont incompréhensibles et qu’elle est impossible à endiguer… Il ne nous reste alors que nos bulletins de vote, notre déclinant pouvoir d’achat et nos yeux pour pleurer. À moins que l’on puisse en rire malgré tout.
catherine.chauvin@wanadoo.fr
Bande-annonce : https://www.amis.monde-diplomatique.fr/La-Tres-grande-evasion-7965.html
Le capitalisme est-il devenu incontrôlable ? De révélations en scandales successifs, l’évasion fiscale est devenue un marronnier médiatique et l’objet d’un concours de déclarations vertueuses pour les politiques. Alors que les multinationales et les plus riches ont de moins en moins de scrupules et de plus en plus de moyens à leur disposition pour échapper à l’impôt, pour nous, simple citoyen, les politiques d’austérité s’intensifient et les inégalités explosent. On voudrait nous faire croire que les mécanismes de l’évasion fiscale sont incompréhensibles et qu’elle est impossible à endiguer… Il ne nous reste alors que nos bulletins de vote, notre déclinant pouvoir d’achat et nos yeux pour pleurer. À moins que l’on puisse en rire malgré tout.
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